lundi 3 septembre 2012

Kadalys, mon coup de coeur cosmétique de la rentrée (découverte et concours inside)


Cette fois, je crois que nous y sommes vraiment : c'est l'heure de la rentrée ! Petite pensée donc à toutes celles et tous ceux qui reprennent aujourd'hui le chemin du bureau ou de l'école, le coeur lourd et le moral dans les chaussettes. Pas d'inquiétude, ce n'est qu'un mauvais moment à passer et d'ici une semaine, votre bronzage aura déjà foutu le camp et le repos accumulé ne sera plus qu'un lointain souvenir (oui, je sais, j'ai toujours été doué pour remonter le moral !). Mais bon, life is life (le premier que j'entends chanter "lala, lalala" file au coin) et ne laissons pas cette triste perspective nous empêcher de causer beauté, d'autant qu'aujourd'hui, j'ai une nouvelle marque plus que canon à vous présenter : KADALYS. Un projet que je meurs d'envie de vous dévoiler depuis plusieurs mois mais il fallait attendre son lancement officiel dans les tous prochains jours pour pouvoir le faire. Et comment cela se fait-il que j'en ai entendu parler depuis si longtemps ? Tout simplement parce que j'ai la chance... d'être l'Attaché de Presse de ce projet qui me tient tout particulièrement à coeur. A chaque fois que vous verrez Kadalys en presse, vous pourrez penser à moi !

 
Depuis plus de 8 ans que je fais mon métier, j'ai bien du gérer l'image de 40 marques beauté/forme, toutes plus intéressantes les unes que les autres. Mais malgré cela, je pense que Kadalys arrive quand même sur le podium des projets les plus excitants qu'il m'ait été donné de défendre. Il y a tellement de choses à dire à son sujet que je ne sais même pas par où commencer ! Mais comme derrière chaque projet se cache une personne, je vais débuter par un mot rapide sur celle qui est à l'initiative de tout cela : Shirley Billot. Il faut le savoir, Shirley, c'est un peu l'Obélix de la cosmétique, elle est tombée dans la marmite de la beauté étant petite. Et je pense qu'elle a tout bu ! Il faut dire aussi qu'elle y a été sensibilisée dès son plus jeune âge, sa maman martiniquaise l'ayant initiée très tôt aux usages de la phytothérapie créole, et lui apprenant de nombreux recettes de beauté utilisant la flore locale. Un héritage dont elle a su se rendre digne...


Car il y a deux ans, Shirley tombe sur plusieurs études scientifiques concernant... la banane ! A l'époque, pas mal de chercheurs se penchent sur ce fruit - qui est parait-il le préféré des français - en passant au crible ses vertus nutritionnelles. La banane vient alors tout juste d'être considérée comme un alicament aux USA, distinguée pour sa capacité à prévenir les risques cardio-vasculaires. En parcourant ces différentes études cliniques, Shirley se fait une réflexion : ce qu'elle est en train de lire pour la santé est tout aussi intéressant d'un point de vue beauté et la richesse en antioxydants, polyphénols, phytostérols, tocophérols qu'elle devine dans les graphiques médicaux l'amène à se poser une question simple... la banane pourrait-elle être intéressante cosmétiquement parlant ? Ni une, ni deux, elle se lance alors dans une véritable bibliographie, réunissant toutes les études concernant la banane réalisées dans le monde entier.


Une fois ce travail réalisé, elle prend son courage à deux mains et contacte le CIRAD, le centre de recherche spécialisée sur les pays du sud (l'équivalent du CNRS si vous voulez), à qui elle présente ses recherches. Intrigué par cette profusion de données, ce dernier donne son "go" pour creuser davantage, et accueille sa chercheuse dans les équipes de leur Laboratoire de Pharmacologie et de Physiopathologie Expérimentale de Montpellier. La machine est alors lancée... Bien implantée au niveau local (elle en est originaire et y a distribué pendant plusieurs années des dizaines de marques cosmétiques), Shirley se rapproche des producteurs de bananes de Guadeloupe et de Martinique. J'imagine toujours la scène et me dis que ses représentants ont du se dire que l'idée était totalement farfelue, un peu inattendue en tout cas. Néanmoins, ils ont à leur tour fait confiance à Shirley (qui en même temps sait être très persuasive, du genre à vendre des couteaux à steacks à une famille de végétariens!) et lui ont proposé de lui fournir la matière végétale (les bananes quoi!) pour qu'elle puisse mener ses recherches. S'il existe des centaines et centaines de variétés de banane dans nos DOM TOM, Shirley décide de s'attaquer aux deux plus courantes en métropole, la banane jaune et la banane verte. Ce sont celles dont la résistance leur permet d'être toujours présentables lorsqu'elles arrivent dans nos magasins hexagonaux, après des jours et des jours de bateaux. Peut-être le signe d'une composition particulière...


A ce moment là du jeu, une réflexion vous vient peut-être à l'esprit si comme moi vous êtes du genre à beaucoup suivre l'actualité. J'imagine si c'est le cas que vous êtes en train de vous dire que "les bananes de Guadeloupe et Martinique sont sûrement du genre polluées" vu ce qu'on entend des nappes phréatiques de ces iles etc, etc... Sauf que si cela a très certainement été vrai par le passé, ce n'est aujourd'hui plus le cas. Plusieurs études ont d'ailleurs montré ces dernières semaines que la banane était l'un des fruits/légumes les plus safe que l'on puisse trouver. Et depuis les scandales sanitaires de l'époque, la Guadeloupe et la Martinique ont totalement revu leur mode de culture et privilégient aujourd'hui l'utilisation d'insecticides naturels. Ils se sont aussi engagés dans de nouvelles pratiques pour une agriculture de préservation. Shirley a d'ailleurs sélectionné pour s'approvisionner en bananes deux producteurs parmi les plus vertueux, et très engagés sur ces méthodes plus respectueuses. Un pour la banane jaune et un second pour la verte, ce qui lui permet d'avoir une traçabilité exemplaire de ses actifs. Des actifs qu'elle a évidemment fait tester (sur les critères non pas cosmétiques mais ceux encore plus drastiques des médicaments) et sur lesquels aucune trace de pesticide n'a été détectée (les bananes étant évidemment aussi contrôlées par les planteurs eux mêmes, vu que le gros de la production va à la consommation "alimentaire").


Cette parenthèse renfermée, j'en reviens donc aux recherches de l'équipe scientifique. Vous avez déjà eu la sensation de chercher des heures un truc qui en fait vous crevait les yeux ? De perdre un temps fou à imaginer un truc over-compliqué alors que la réponse à un problème était finalement évidente ? Et bien je pense que c'est un peu cette impression qu'ont du avoir les chercheurs de Kadalys (dont je me rends compte que je ne vous ai pas encore dit que "kadali" signifiait en fait bananier en sanskrit, en hommage aux origines indiennes du grand-père de Shirley) lorsqu'ils ont constaté les titrages en antioxydants de leurs deux actifs issus des bananes (des bases huileuses concentrant les molécules de banane et extraites selon un procédé green et en passe d'être breveté). C'est drôle au fond car les marques en général passent leur temps à se creuser la tête pour trouver LE fruit original à qui l'on va prêter des vertus cosmétiques incroyables, un végétal du bout du monde au nom souvent improbable mais qui va leur permettre de se démarquer de ses concurrents... Tout cela alors même que la banane est juste là, sous nos yeux, et que simplement, personne ne s'imaginait qu'on pouvait y trouver des trucs intéressants. Il faut dire en même temps que la banane n'est de prime abord pas le fruit le plus glamour, le plus évident à utiliser dans un projet cosmétique (même s'il n'y a pourtant qu'à regarder les photos d'ambiance dispersées dans ce billet pour se convaincre finalement du contraire, tant les feuilles et fleurs de bananier sont magnifiques).


Bref, tout ça pour vous dire que la banane est un superfruit qui s'ignore. Les deux actifs qui en ont été tirés affichent des compositions du genre sympathique. L'indice ORAC (le référentiel mondial mesurant l'activité antioxydante des végétaux) ne ment pas : la banane verte est par exemple 7 fois plus anti-oxydante que le raisin. Et la jaune 20 fois. Qui dit mieux ?! Et je ne vous parle pas même pas du détail des phytostérols, polyphénols et tocophérols où le constat est tout aussi probant. Les choses commencent alors à s'éclaircir dans l'esprit de Shirley : la banane verte sera réservée à une gamme pour les premiers signes de l'âge, et la jaune à une ligne pour les peaux plus matures. Il faut alors baptiser ces deux actifs... "Musa" étant le nom scientifique de la banane, elle opte alors pour Musalis pour la première, et Musalift pour la seconde. Deux lignes placées sous le signe des bienfaits beauté du bananier : c'est la naissance de la musatherapy, l'alternative green et anti-âge de la mesotherapy ! 


Mais aussi antioxydante soit elle, pas question pour autant de se contenter de mettre dans les flacons de Kadalys de la "simple" huile de banane. Non, non, c'est pas le genre de Shirley ça ! Je vous avais dit qu'elle était beauty addict, et je n'ai pas menti. Elle le prouve ici en associant à la banane tout un arsenal d'actifs anti-âge à l'efficacité prouvée. Des acides hyaluroniques (les trois poids moléculaires pour plus d'efficacité), du squalane et des enzymes de canne à sucre, des huiles végétales complémentaires... j'en passe et des meilleures ! Le tout avec systématiquement des dosages aux taux objectivés pour prétendre à une activité cosmétique réelle. Si les flacons font le plein d'actifs, ils s'allègent en revanche de tout ce que Shirley considère comme facultatif ; bye bye huiles minérales, silicones synthétiques, parfum, colorants de synthèse, conservateurs non éco-certifiés, filtre chimique, phtalates, PEG, OGM... Les packagings aussi adoptent un état d'esprit green : flacons airless avec pompe indépendante pour pouvoir être recyclés, étuis en papier éthique sans point de colle... le tout sans jamais renier sur le côté glamour et technique, bien au contraire.


Vous l'aurez peut-être compris, Kadalys est une marque bio et certifiée par Ecocert. Ce qui est amusant, c'est que cela n'est en aucun cas un argument de vente (le logo n'est même pas sur le facing du produit). Ce que Kadalys veut mettre en avant, c'est la technicité de ses formules. Ce quelle demande est simple : être jugée à ce titre sur son efficacité et sa sensorialité, comme le serait n'importe quelle marque traditionnelle. Et laissez moi vous dire que les produits (entre 35 et 58 euros) ont tout pour plaire, avec une mention spéciale pour mon petit chouchou, le masque peeling dont je vous reparlerais bientôt. Utilisable sur trois tempos différents, je l'adore déjà. L'huile multi-usages plait aussi beaucoup et je sais que certaines journalistes beauté en ont déjà fait leur must-have (n'est ce pas Belle et Buzz!). Je demande d'ailleurs une minute de silence pour tous les formulateurs cosmétiques que Shirley a épuisé en exigeant des textures dont on ne pouvait à aucun moment soupçonner qu'elles étaient bio. Et si vous vous demandez si tout cela sent la banane, rassurez vous, pas du tout. Sachez d'ailleurs que le parfum de la banane (qui au final ne sent pas vraiment grand chose, sauf lorsqu'elle est trop mûre!) est très volatile et impossible à reproduire autrement que chimiquement. En revanche, certaines références sentent un peu... le citron ! Rien d'anormal, Shirley a remplacé une partie de la phase aqueuse du produit par de l'eau de citron, aux propriétés éclat du visage et anti-taches.


Vous l'aurez compris, je suis pour ma part totalement convaincu ! De par ma casquette de blogueur ou via celle d'attaché de presse, je vois passer quantité de nouvelles marques cosmétiques et il doit y en avoir une par an maximum où je trouve que tout est là pour que cela marche. Les formules, l'univers de marque, les packagings, les textures, les visuels de communication... tout ici semble avoir fait l'objet d'heures et d'heures d'interrogations (connaissant Shirley, je crois d'ailleurs que c'est ce qui c'est passé!!). Du coup, je croise très fort les doigts pour que ce projet rencontre le succès qu'il mérite ! Rien de plus possible au fond, car qui aurait deviné à son lancement que les vertus cosmétiques du raisin ferait naitre l'incroyable success story de Caudalie ?

CONCOURS


J'ai encore une jolie surprise pour vous ! Après le concours Lady Green de la semaine dernière (dont le résultat est d'ailleurs annoncé juste ICI), vous ne pourrez pas dire que je ne vous gâte pas ! D'autant qu'encore une fois, c'est une exclusivité que je vous propose car là encore, l'un ou l'une d'entre vous sera parmi les tous premiers de France à tester les soins Kadalys. J'ai en effet mis de côté l'un des coffrets de présentation que la marque avait préparé pour son lancement. Un bel écrin contenant l'Huile Précieuse Nutritive, le Sérum 1ères rides Musalis, ainsi qu'un élégant goodies. Peut-être sera t''il à vous dans les prochains jours si votre commentaire est tiré au sort ! Commentaire dans lequel je vais aujourd'hui vous demander... de me raconter quelque chose en rapport avec la banane ! Ce que vous voulez, une anecdote, une recette de cuisine, un souvenir de la Guadeloupe ou de la Martinique, ce que vous pensez du projet Kadalys... c 'est vous qui voyez, c'est vous qui décidé ! Un jeu auquel j'aurais pu jouer car pour le coup, j'ai une histoire toute particulière avec la banane qui est le dernier fruit que j'ai réussi à manger, jusqu'à mes 8/9 ans environ. Et depuis ce jour, je n'ai plus jamais remangé un seul fruit de ma vie... mais les apprécie tout de même dans mes soins cosmétiques !


PS : si vous voulez rejoindre la page Facebook de Kadalys (je peux vous dire qu'il va y avoir des surprises), c'est juste ICI.

PS2 : et tant que vous êtes sur Facebook, n'hésitez pas à liker la page de votre blog préféré ICI ;-) !

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