Non, vous n'aurez pas, ma liberté de penser...

Ah, un titre d'un des plus grands tubes de Florent Pagny en accroche de ce billet, est ce à dire que nous allons à nouveau parler aujourd'hui de Rosazucena, la gamme cosmétique que vient de lancer sa moitié, Azucena ? Et bien oui, c'est exactement ça. Car figurez-vous que l'attachée de presse de la marque a un peu craqué un câble hier. Je ne sais pas si c'est à mettre sur le compte des températures estivales mais j'ai comme l'impression qu'elle a réagi un peu violemment à la lecture de mon post de jeudi. Pour bien se rendre compte du ridicule de ce que vous allez découvrir dans quelques lignes, je vous invite du coup vraiment à relire rapidement le billet en question, juste ICI, Je compte vraiment sur vous pour le faire car c'est important pour la suite...
C'est bon, vous l'avez parcouru à nouveau ? Bon, rassurez moi, vous ne trouvez pas ce billet offensant ou insultant vis-à-vis de quiconque ? Si je ne m'abuse, la seule chose que je vois est un billet ludique et sans autre prétention que de vous faire deviner quelle personne "célèbre" faisait son entrée sur la Planète-Beauté à travers ce projet ? J'avais choisi cette forme "Questions pour un champion" comme j'aurais très bien pu choisir autre chose, rien de notable là-dedans.

En édit le lendemain matin, j'avais expliqué en quelques lignes ce que m'inspirait personnellement cette gamme, comme je le fais tous les jours depuis un an et demi, pour des dizaines et dizaines de marques . Rien de bien terrible non plus, même si j'avais en effet trouvé un peu abusé de vendre une simple huile de Rose Musquée à 44€, soit le double - voire le triple - du prix habituel de cet élixir de beauté qu'on peut se procurer sans souci pour 15€ en pharmacies ou dans des boutiques bio. J'avais enfin évoqué la possibilité que le référencement de Rosazucena ne serait pas forcément évident, le positionnement de la marque n'offrant pas 24 000 possibilités d'ouvertures sur le marché de la beauté français. Enfin, summum de l'insolence, je me suis permis d'écrire qu'il était fort probable qu'en découvrant tout cela, le grand public se dise "Tiens, elle s'ennuyait un peu alors elle a fait son petit caprice avec cette gamme". C'est juste que c'est généralement ce qu'inspirent les gammes de parfum ou de soins portés par un people et cela quel qu'il soit. Le pire en plus, c'est que ce n'est même pas ce que je pense personnellement, ce que j'avais d'ailleurs exprimé noir sur blanc - enfin plutôt blanc sur noir sur ce blog ! - en notant que c'était probablement ici un procès d'intention non justifié.

Rien de bien grave donc (de toute façon, rien n'est grave lorsqu'on cause pots de crèmes et autres futilité du genre). Je n'aurais jamais cru que ce billet pourrait déclencher des réactions hostiles. Je suis du coup tombé de haut lorsque j'ai reçu ce très gentil mail de la part de Raphaëlle, l'attachée de presse un peu nerveuse de Rosazucena (qui a aussi posté sa colère en commentaire sur le billet en question). Allez, je suis partageur alors régalez-vous :
"Teddy,
Je me permets de répondre à votre verve dithyrambique et pardonnez moi...mais tellement creuse et malhonnête concernant Azucena Pagny et sa gamme Rosazucena.
Vous vous êtes appropriés de façon abusive notre communiqué pour le déguiser en fausse interview en dénaturant au passage une personne que vous ne connaissez pas. Le champs lexical anémique et le ton prétentieux que vous lui prêter peut être le votre mais vous vous seriez vite aperçu que ce n’est pas le sien si vous aviez au moins eu l'honnêteté de demander une Interview avec elle comme tous les autres journalistes et investigateurs bloggeurs qui ont souhaité rédiger un papier “propre” et une critique respectable afin de renseigner un lectorat en attente d’objectivité.
Tout ce long papier pour conclure au final, et se sont là vos propres termes : “c’est un procès d’intention qui n’est probablement sans aucun fondements”...alors pourquoi perdre son temps à tenter d' abîmer ce que d’autres prennent le risque d’entreprendre après de longues années d’un travail soigné ?
Quelle est votre quête déjà à travers ce blog ? Quel est le sens que vous lui donner ? Je reprends vos propres mots encore une fois :
“ ne pas être un blog parmi tant d’autres”
“Dénicher les marques sympas distribuées à l’autre bout du monde”
“ Un regard différent sur l’univers de la beauté”
Et bien je trouve cela dommage d’employer son temps à faire exactement l’inverse de ce à quoi on aspire...
Pour conclure et je reprendrais les mots de Vesper, l’un de vos internautes répondant à votre billet fallacieux : “tu t’es emmêlé les pinceaux” alors prenez votre courage à deux mains et faites autre chose, quelque chose qui est du SENS !
Heureusement que la médiocrité ne trouve pas d’échos et qu’elle n’est que le fait que de votre planète !
Raphaëlle"
Je me permets de répondre à votre verve dithyrambique et pardonnez moi...mais tellement creuse et malhonnête concernant Azucena Pagny et sa gamme Rosazucena.
Vous vous êtes appropriés de façon abusive notre communiqué pour le déguiser en fausse interview en dénaturant au passage une personne que vous ne connaissez pas. Le champs lexical anémique et le ton prétentieux que vous lui prêter peut être le votre mais vous vous seriez vite aperçu que ce n’est pas le sien si vous aviez au moins eu l'honnêteté de demander une Interview avec elle comme tous les autres journalistes et investigateurs bloggeurs qui ont souhaité rédiger un papier “propre” et une critique respectable afin de renseigner un lectorat en attente d’objectivité.
Tout ce long papier pour conclure au final, et se sont là vos propres termes : “c’est un procès d’intention qui n’est probablement sans aucun fondements”...alors pourquoi perdre son temps à tenter d' abîmer ce que d’autres prennent le risque d’entreprendre après de longues années d’un travail soigné ?
Quelle est votre quête déjà à travers ce blog ? Quel est le sens que vous lui donner ? Je reprends vos propres mots encore une fois :
“ ne pas être un blog parmi tant d’autres”
“Dénicher les marques sympas distribuées à l’autre bout du monde”
“ Un regard différent sur l’univers de la beauté”
Et bien je trouve cela dommage d’employer son temps à faire exactement l’inverse de ce à quoi on aspire...
Pour conclure et je reprendrais les mots de Vesper, l’un de vos internautes répondant à votre billet fallacieux : “tu t’es emmêlé les pinceaux” alors prenez votre courage à deux mains et faites autre chose, quelque chose qui est du SENS !
Heureusement que la médiocrité ne trouve pas d’échos et qu’elle n’est que le fait que de votre planète !
Raphaëlle"

Paf dans la tête à Teddy ! Pan pan cul cul ! Pour la peine, je serai privé de dessert et au lit à 8 heures ! Bon, je ne vais pas m'abaisser à son niveau, c'est bien mal me connaître. Je vais simplement rappeler à cette charmante dame (et éventuellement aux rares dernières marques qui ne l'auraient pas encore compris) que ce blog, comme tout blog qui se respecte de toute façon, n'est régi que par deux choses : l'honnêteté et la liberté d'expression (dans le respect de l'autre bien entendu, ça coule de source). Je ne pense pas, à aucun moment dans le billet incriminé, avoir été insultant ou blessant. Et j'aurais du coup apprécié que l'on se comporte de la même manière à mon égard. Comme cette Raphaëlle m'accuse de tous les maux, je vais simplement reprendre quelques points de sa tirade qu'ils me semblent tout de même essentiels de clarifier.
"Teddy,"
= c'est bon, c'est bien un mail pour moi !
"Je me permets de répondre à votre verve dithyrambique et pardonnez moi... mais tellement creuse et malhonnête concernant Azucena Pagny et sa gamme Rosazucena."
"Teddy,"
= c'est bon, c'est bien un mail pour moi !
"Je me permets de répondre à votre verve dithyrambique et pardonnez moi... mais tellement creuse et malhonnête concernant Azucena Pagny et sa gamme Rosazucena."
= Ah bah ça commence fort ! Mais vous aller voir que niveau "verve tellement creuse et malhonnête", j'ai trouvé mon maître (enfin, ma maîtresse!).
"Vous vous êtes approprié de façon abusive notre communiqué pour le déguiser en fausse interview en dénaturant au passage une personne que vous ne connaissez pas."
= C'est quand même dommage qu'une attachée de presse ne sache pas que dans une interview, il y a des questions et des réponses. Vous avez vu des questions quelques part vous ? Non parce que moi, je les cherche encore.
Bien sûr le texte est écrit à la première personne comme si c'était la créatrice de la marque qui parlait. Mais ce n'est pas du tout l'idée, mais juste une figure de style où je reprenais simplement la structure fondamentale de l'émission Question pour un champion. La célèbre devinette à la première personne et que Julien Lepers conclut toujours en hurlant en guise de question finale son célèbre "Je suis, je suis ?" ! Lorsqu'il dit, pour faire deviner le mot chou-fleur par exemple, "Plante herbacée bisannuelle, je produis une boule blanche tendre et compacte appelée méristème. Cultivé comme plante potagère, je suis récolté entre mars et mai comme un légume puis consommé dans des plats comme le gratin avec lequel je m'accommode très bien, je suis, je suis?", on a bien compris que ce n'était pas le chou-fleur qui parlait quand même !
OK, j'ai ajouté dans mon petit délire quelques titres de chansons de Florent Pagny en guise d'indices pour notre jeu, mais je sais que mes lecteurs sont quand même assez futés pour ne pas imaginer un seul instant que c'est la créatrice de la marque qui parlait ainsi, d'autant que Rouge Caruso est une couleur qui n'existe même pas ! Ouh ouh, c'est un clin d'oeil, faut allumer la lumière là-haut à un moment !
"Vous vous êtes approprié de façon abusive notre communiqué pour le déguiser en fausse interview en dénaturant au passage une personne que vous ne connaissez pas."
= C'est quand même dommage qu'une attachée de presse ne sache pas que dans une interview, il y a des questions et des réponses. Vous avez vu des questions quelques part vous ? Non parce que moi, je les cherche encore.
Bien sûr le texte est écrit à la première personne comme si c'était la créatrice de la marque qui parlait. Mais ce n'est pas du tout l'idée, mais juste une figure de style où je reprenais simplement la structure fondamentale de l'émission Question pour un champion. La célèbre devinette à la première personne et que Julien Lepers conclut toujours en hurlant en guise de question finale son célèbre "Je suis, je suis ?" ! Lorsqu'il dit, pour faire deviner le mot chou-fleur par exemple, "Plante herbacée bisannuelle, je produis une boule blanche tendre et compacte appelée méristème. Cultivé comme plante potagère, je suis récolté entre mars et mai comme un légume puis consommé dans des plats comme le gratin avec lequel je m'accommode très bien, je suis, je suis?", on a bien compris que ce n'était pas le chou-fleur qui parlait quand même !
OK, j'ai ajouté dans mon petit délire quelques titres de chansons de Florent Pagny en guise d'indices pour notre jeu, mais je sais que mes lecteurs sont quand même assez futés pour ne pas imaginer un seul instant que c'est la créatrice de la marque qui parlait ainsi, d'autant que Rouge Caruso est une couleur qui n'existe même pas ! Ouh ouh, c'est un clin d'oeil, faut allumer la lumière là-haut à un moment !

"Le champs lexical anémique et le ton prétentieux que vous lui prêter peut être le votre mais vous vous seriez vite aperçu que ce n'est pas le sien"
= Charmante cette dame... Mon champ lexical est peut être anémique mais moi, je sais que la conjugaison pour le sujet "vous" prend un Z et non un R dans cette phrase. Et que le sujet du verbe "pouvoir" est ici "le champs lexical et le ton prétentieux" (sans s à champs si possible) et que par conséquent, ce sera à conjuguer à la troisième personne du pluriel, avec une terminaison en "ent", peuvent en l'occurence. Charité bien ordonnée commence par soi-même dit-on...
"si vous aviez au moins eu l'honnêteté de demander une interview avec elle comme tous les autres journalistes et investigateurs bloggueurs qui ont souhaité rédiger un papier "propre" et une critique respectable"
= vous croyez que ça veut dire quoi "un papier propre". Si c'est un synonyme de "qui dit du bien du produit, brosse tout le monde dans le sens du poil et ne se permet aucun jugement critique", alors effectivement, c'est pas le genre de la maison !
"afin de renseigner un lectorat en attente d'objectivité."
= ah bah ça tombe bien, l'objectivité, c'est tout ce que je recherche aussi !
"Tout ce long papier pour conclure au final, et ce là vos propres termes : "c'est un procès d'intention qui n'est probablement sans aucun fondements".
= même lorsque je dis quelque chose de positif sur la marque, elle trouve encore le moyen de se plaindre, c'est fou ça !
"alors pourquoi perdre son temps à tenter d' abîmer"
= Pardonnez-moi Maîtresse Raphaëlle d'avoir eu l'outrecuidance d'oser réfléchir en me demandant comment cette gamme pourrait elle être accueillie en France, est-ce que son positionnement prix était bon... C'est vrai, j'aurais simplement du dire à quel point elle était magnifique, qu'elle était promise à un grand succès mondial et que jamais, de ma beauty addict de vie, je n'avais été confronté à un projet aussi bien ficelé... Balivernes, je n'ai rien abîmé du tout, j'ai simplement émis un avis personnel et qui en plus était loin d'être assassin.
"ce que d'autres prennent le risque d'entreprendre après de longues années d'un travail soigné ?"
= des années de boulot pour pondre une huile de rose musquée (le B.A.BA de la cosméto, un seul actif pur dans le flacon...) et une simple infusion ? Sont pas très rapides en Patagonie...
= Charmante cette dame... Mon champ lexical est peut être anémique mais moi, je sais que la conjugaison pour le sujet "vous" prend un Z et non un R dans cette phrase. Et que le sujet du verbe "pouvoir" est ici "le champs lexical et le ton prétentieux" (sans s à champs si possible) et que par conséquent, ce sera à conjuguer à la troisième personne du pluriel, avec une terminaison en "ent", peuvent en l'occurence. Charité bien ordonnée commence par soi-même dit-on...
"si vous aviez au moins eu l'honnêteté de demander une interview avec elle comme tous les autres journalistes et investigateurs bloggueurs qui ont souhaité rédiger un papier "propre" et une critique respectable"
= vous croyez que ça veut dire quoi "un papier propre". Si c'est un synonyme de "qui dit du bien du produit, brosse tout le monde dans le sens du poil et ne se permet aucun jugement critique", alors effectivement, c'est pas le genre de la maison !
"afin de renseigner un lectorat en attente d'objectivité."
= ah bah ça tombe bien, l'objectivité, c'est tout ce que je recherche aussi !
"Tout ce long papier pour conclure au final, et ce là vos propres termes : "c'est un procès d'intention qui n'est probablement sans aucun fondements".
= même lorsque je dis quelque chose de positif sur la marque, elle trouve encore le moyen de se plaindre, c'est fou ça !
"alors pourquoi perdre son temps à tenter d' abîmer"
= Pardonnez-moi Maîtresse Raphaëlle d'avoir eu l'outrecuidance d'oser réfléchir en me demandant comment cette gamme pourrait elle être accueillie en France, est-ce que son positionnement prix était bon... C'est vrai, j'aurais simplement du dire à quel point elle était magnifique, qu'elle était promise à un grand succès mondial et que jamais, de ma beauty addict de vie, je n'avais été confronté à un projet aussi bien ficelé... Balivernes, je n'ai rien abîmé du tout, j'ai simplement émis un avis personnel et qui en plus était loin d'être assassin.
"ce que d'autres prennent le risque d'entreprendre après de longues années d'un travail soigné ?"
= des années de boulot pour pondre une huile de rose musquée (le B.A.BA de la cosméto, un seul actif pur dans le flacon...) et une simple infusion ? Sont pas très rapides en Patagonie...

"Vous qui n'avez même pas testé l'échantillon d'huile que je vous ai envoyé puisque votre papier paraissait avant même que vous ayez pu recevoir mon enveloppe !".
= Est-ce qu'à un seul moment j'ai critiqué le produit en lui-même ? Ai-je seulement laissé sous entendre que je l'avais essayé ? Pas une seconde car comme 6 fois sur 7 (le fameux billet du dimanche qui fait exception!), je m'intéressais ici au fond (le positionnement) et non à la forme. Mais puisque Raphaëlle me le demande gentiment, maintenant que j'ai en effet reçu avant-hier ce - minuscule - échantillon, je peux à présent dire que cette huile ne sent pas très bon (à mon nez en tout cas.).
"Quelle est votre quête déjà à travers ce blog ? Quel est le sens que vous lui donner ?"
= cherche un peu Raphie, c'est noté en haut à gauche !
"Je reprends vos propres mots encore une fois :
"ne pas être un blog parmi tant d'autres"
"Dénicher les marques sympas distribuées à l'autre bout du monde"
"Un regard différent sur l'univers de la beauté"
= Ah bah c'est bon, elle a trouvé ! Ça va, c'est pas trop anémié comme présentation ? Pardon si c'est le cas, je fais avec les petits moyens intellectuels qui sont les miens. Mais je me console en me disant que je fais toujours moins de fautes de français que cette chère Raphaëlle qui n'a pas du bien se relire avant de cliquer sur Envoyer. Les accords, les pronoms démonstratifs, la conjugaison des verbes... faut se montrer un peu plus vigilante avant d'envoyer des mails assassins.
Qu'est ce qu'elle croyait ? Que parce que Rosazucena vient du bout du monde, j'allais me lever et applaudir des deux mains en mettant mon esprit critique sur off ? Une huile de rose musquée à 45€, c'est no way et si je blogue, c'est justement pour le dire, pas pour faire croire à mes lecteurs que ce prix est justifié. Désolé, mais la complaisance, très peu pour moi. Mon champ lexical anémié et ma médiocre verve ne sont là que pour inciter les gens à se poser les bonnes questions. Ni plus, ni moins.
= Est-ce qu'à un seul moment j'ai critiqué le produit en lui-même ? Ai-je seulement laissé sous entendre que je l'avais essayé ? Pas une seconde car comme 6 fois sur 7 (le fameux billet du dimanche qui fait exception!), je m'intéressais ici au fond (le positionnement) et non à la forme. Mais puisque Raphaëlle me le demande gentiment, maintenant que j'ai en effet reçu avant-hier ce - minuscule - échantillon, je peux à présent dire que cette huile ne sent pas très bon (à mon nez en tout cas.).
"Quelle est votre quête déjà à travers ce blog ? Quel est le sens que vous lui donner ?"
= cherche un peu Raphie, c'est noté en haut à gauche !
"Je reprends vos propres mots encore une fois :
"ne pas être un blog parmi tant d'autres"
"Dénicher les marques sympas distribuées à l'autre bout du monde"
"Un regard différent sur l'univers de la beauté"
= Ah bah c'est bon, elle a trouvé ! Ça va, c'est pas trop anémié comme présentation ? Pardon si c'est le cas, je fais avec les petits moyens intellectuels qui sont les miens. Mais je me console en me disant que je fais toujours moins de fautes de français que cette chère Raphaëlle qui n'a pas du bien se relire avant de cliquer sur Envoyer. Les accords, les pronoms démonstratifs, la conjugaison des verbes... faut se montrer un peu plus vigilante avant d'envoyer des mails assassins.
Qu'est ce qu'elle croyait ? Que parce que Rosazucena vient du bout du monde, j'allais me lever et applaudir des deux mains en mettant mon esprit critique sur off ? Une huile de rose musquée à 45€, c'est no way et si je blogue, c'est justement pour le dire, pas pour faire croire à mes lecteurs que ce prix est justifié. Désolé, mais la complaisance, très peu pour moi. Mon champ lexical anémié et ma médiocre verve ne sont là que pour inciter les gens à se poser les bonnes questions. Ni plus, ni moins.

"Et bien je trouve cela dommage d'employer son temps à faire exactement l'inverse de ce à quoi on aspire..."
= J'en parlerai à mon cheval, c'est promis ! Non mais sérieusement, lectrices et lecteurs, rassurez-moi : je remplis à peu près les missions que je me suis fixé en créant ce blog, non ?!
"Pour conclure et je reprendrais les mots de Vesper, l'un de vos internautes répondant à votre billet fallacieux : "tu t'es emmêlé les pinceaux"
= Là, elle atteint le summum de la malhonnête intellectuelle cette Raphaëlle. Car pour rappel, Vesper ne faisait que me signaler que j'avais fais une coquille, intervertissant deux lettres dans le nom de la marque. C'est vrai que j'aurais du me relire moi aussi mais c'est ma dyslexie qui m'a encore joué des jours ! Oh punaise, j'ai réussi à écrire dyslexie. Un mot compliqué avec un Y et un X dedans ! Un mot à 27 points au Scrabble, ce n'est quand même pas rien pour une personne aussi intellectuellement limitée comme moi !
"alors prenez votre courage à deux mains et faites autre chose, quelque chose qui est du SENS!"
= bon bah les Amis, je suis désolé de vous l'annoncer ainsi mais c'est ici la fin de Planète-Beauté. J'ai beaucoup réfléchi ces derniers temps et je pense qu'il est temps de prendre mon courage à deux mains et d'enfin donner du sens à ma vie... Raphaëlle au fait, c'est "ait du sens", du verbe avoir et non pas être...
"Heureusement que la médiocrité ne trouve pas d'échos et qu'elle n'est que le fait que de votre planète !".
= même si ce n'est pas l'envie qui m'en manque, je préfère ne pas répondre à cela et rester tranquillement avec ma médiocrité.
= J'en parlerai à mon cheval, c'est promis ! Non mais sérieusement, lectrices et lecteurs, rassurez-moi : je remplis à peu près les missions que je me suis fixé en créant ce blog, non ?!
"Pour conclure et je reprendrais les mots de Vesper, l'un de vos internautes répondant à votre billet fallacieux : "tu t'es emmêlé les pinceaux"
= Là, elle atteint le summum de la malhonnête intellectuelle cette Raphaëlle. Car pour rappel, Vesper ne faisait que me signaler que j'avais fais une coquille, intervertissant deux lettres dans le nom de la marque. C'est vrai que j'aurais du me relire moi aussi mais c'est ma dyslexie qui m'a encore joué des jours ! Oh punaise, j'ai réussi à écrire dyslexie. Un mot compliqué avec un Y et un X dedans ! Un mot à 27 points au Scrabble, ce n'est quand même pas rien pour une personne aussi intellectuellement limitée comme moi !
"alors prenez votre courage à deux mains et faites autre chose, quelque chose qui est du SENS!"
= bon bah les Amis, je suis désolé de vous l'annoncer ainsi mais c'est ici la fin de Planète-Beauté. J'ai beaucoup réfléchi ces derniers temps et je pense qu'il est temps de prendre mon courage à deux mains et d'enfin donner du sens à ma vie... Raphaëlle au fait, c'est "ait du sens", du verbe avoir et non pas être...
"Heureusement que la médiocrité ne trouve pas d'échos et qu'elle n'est que le fait que de votre planète !".
= même si ce n'est pas l'envie qui m'en manque, je préfère ne pas répondre à cela et rester tranquillement avec ma médiocrité.
Voilà, je n'épiloguerai pas plus longtemps sur le sujet mais je pense qu'il était quand même indispensable de mettre les choses au point. On ne peut pas se permettre d'envoyer des mails de ce genre, je crois que Raphaëlle n'a pas du aller dans la même école d'Attaché de Presse que les 99% de personnes exerçant notre belle profession. Elle est en plus très mauvaise en communication de crise car la seule chose qu'elle a gagné avec son ennuyeuse diatribe, c'est ce second billet qui fera résonner ma médiocrité probablement bien plus loin que le premier qui n'avait offusqué personne.
Même si on peut avoir tendance à le faire instinctivement, je vous demanderai simplement de ne pas prendre Rosazucena en grippe pour autant car je pense que la marque n'y est strictement pour rien dans tout ça et qu'Acuzena Pagny a sûrement d'autres chats à fouetter que mon billet de jeudi. Faîtes vous votre propre opinion sur la marque en occultant tout ça car finalement, personne n'est à l'abri de choisir une attachée de presse un poil trop nerveuse et fâchée avec son Bescherelle... En 1995, Pagny chantait "Presse qui roule pas vraiment cool. Presse qui coule me casse les couilles...". Cette chanson, je la dédicace à Raphaëlle en ce beau samedi ensoleillé. Avec celle-ci aussi au passage !
Même si on peut avoir tendance à le faire instinctivement, je vous demanderai simplement de ne pas prendre Rosazucena en grippe pour autant car je pense que la marque n'y est strictement pour rien dans tout ça et qu'Acuzena Pagny a sûrement d'autres chats à fouetter que mon billet de jeudi. Faîtes vous votre propre opinion sur la marque en occultant tout ça car finalement, personne n'est à l'abri de choisir une attachée de presse un poil trop nerveuse et fâchée avec son Bescherelle... En 1995, Pagny chantait "Presse qui roule pas vraiment cool. Presse qui coule me casse les couilles...". Cette chanson, je la dédicace à Raphaëlle en ce beau samedi ensoleillé. Avec celle-ci aussi au passage !
Libellés : Coup de gueule, Rosazucena
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