lundi 6 septembre 2010

Revue de blogs


Aujourd'hui, la semaine démarre sur les chapeaux de roues puisque je vais probablement marcher plus de 15 kilomètres dans les allées du Salon Maison & Objets. Sachant qu'hier, j'ai du en faire au moins autant au Salon du Mariage (ce n'est pas moi qui me marie, je suis juste témoin !), je n'ai même pas eu le temps de vous préparer le petit billet que j'avais prévu. Du coup, pour ne pas vous laisser totalement sans lecture, je vous propose de relayer deux billets qui avaient retenu mon attention et sur lesquels je vous propose d'ouvrir le débat :


Le premier article est un billet du Beauté-Blog (ICI) qui a posé une question que j'ai trouvé très pertinente. Au moment de sa sortie, la ligne de maquillage modulable de Fred Farrugia a simplement été l'évènement de la rentrée make-up. Mais depuis, c'est vrai que la marque se fait beaucoup plus discrète. D'un sens, c'est normal puisque le parti-pris étant de proposer des packs toujours identiques, la seule nouveauté reste les couleurs proposées, ce qui est peut-être un peu léger pour créer le buzz. Cette situation m'a d'ailleurs fait penser à celle de UNE Natural Beauty (dont je vous avais parlé ICI) et m'a amené à me poser cette question existencielle : lorsque le concept et la charte graphique d'une marque sont très forts, est-il vraiment possible de la faire vivre passé l'effet de nouveauté ?




Toujours au rayon maquillage, mais cette fois en grandes surfaces, un billet sympa (ICI) que j'avais lu chez Filles et Futiles qui s'interrogeait sur la pertinence des prix des mascaras. Avec la profusion de réductions dont l'on peut maintenant profiter en parfumerie, il n'est pas rare qu'un mascara L'Oréal Paris soit finalement au même prix qu'un mascara Make Up For Ever. Un avis que je partage totalement, le prix du maquillage dans les grandes surfaces françaises ayant l'air bien plus prohibitif qu'à l'étranger. Ce qui est d'autant plus regrettable qu'on ne peut pas dire que l'offre y soit particulièrement funky (et là aussi, il faudrait que je vous montre dans les prochains jours ce à quoi ont droit les américaines par exemple). Tout ça pour en arriver à cette conclusion ; est-ce que finalement, compte tenu de la qualité parfois relative des formules et de la faible créativité du maquillage en GMS, le prix de ces produits n'est-il pas un peu surévalué ?

Je vous laisse me dire ce que vous en pensez et file finir d'user les semelles de mes chaussures Underground ! Bon lundi !

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